Mise en scène : Michel Tallaron – Jeu : Sophie Engel et Marianne Salmon
Création musicale : Benoît Cancoin (Contrebasse) et Thierry Renard (Violoncelle)
Le propos :
Eau, fleuve, marécage.
Oiseau.
Ce peu d’eau et de terre, mêlées, a la charge vibratoire d’un Haïku, d’une révélation. Au cœur du marécage, lieu de pourrissement et de germination, une danse de grues, oiseaux du renouvellement, de la longévité et de la régénération cyclique.
Ce texte relève du rêve profond, initiatique, où il s’agit sans cesse de voir au-delà du vu. L’immersion dans le marécage devient la métaphore d’une descente en soi-même.
Un rendez-vous avec le Corps et la Terre.